BAUDELAİRE VE KÖTÜLÜK ÇİÇEKLERİ

Galip BALDIRAN

Öz


Quand Baudelaire a édité les Fleurs du Mal, c’est la période de
Napoléon III et les tribunaux de la Deuxième République avaient condamné
ce livre de gâter la morale du juste milieu et de propager les sentiments
pervers. Pour Baudelaire, le but de la littérature n’est pas d’enseigner la morale mais de montrer la vie. Peut-être la morale peut-elle s’en dégager. Il
recourt à la débauche afin d’oublier la médiocrité de lavie. L’homme ne
veut pas accepter son sort misérable en se rebellant contre Dieu. Mais ce
défit demeure sans effet et l’homme est condamné à la mort sous le joug de
haine, de violence des sentiments, d’une âme angoissée par un esprit qui
ronge son mal intérieur. Baudelaire cherche dans l’amour un moyen de
conjurer l’ennui et la peur de mort. Il s’agit tout le temps chez lui les désirs
contradictoires: le bon Dieu, satan, bien, mal, amour, haine, paradis, enfer
etc. D’après le poète, la nature est laide, il préfère les monstres de sa fantaisie
à la trivialité positive. Copier la natureest l’ennemi de l’art mais le bonheur
de rêver et d’exprimer ce qu’on rêve attribue au poète la faculté de créer son
oeuvre. A partir du coup d’Etat de 1851,les tenants idéologiques socialistes
trouvent d’aspirations dans l’Evangile. Dans cette période, Baudelaire a été
influencé de l’Abbé Lamennais. C’est ainsi qu’un socialisme évangélique se
propage en France. Le poète a toujours l’obsession de l’enfer mais il se
révolte contre Dieu.


Anahtar Kelimeler


Baudelaire, Fleurs du Mal, Poésie française.

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